« Mon
paysage quotidien c’est Tournus. Il y a la Saône, qui monte souvent
en hiver avec ses bateaux, ses poissons morts et les vivants. Il y a aussi
des commerces, des immeubles et des routes, le terrain où je joue
au foot, la caserne de pompiers, le magasin Atac où ma mère
travaille, une station service et un parking, et une magnifique église.
Quand je vais au fond de ma cour, je vois des vaches qui broutent. Je vais
tous les jours à l’école où il y a une grande cour
et beaucoup d’arbres. De ma classe, je vois la petite école maternelle.
»
« Mon paysage quotidien
c’est aussi la campagne où l’on peut voir toutes sortes de fleurs,
les collines, les champs et les prairies, la forêt (que je connais
comme ma poche et où nous allons parfois en pique-nique), le vignoble
et les chemins de terre où l’on peut rencontrer des vipères
qui piquent et sont très dangereuses, des haies. Il y a des cadoles,
quelques fermes et des châteaux. C’est bien, parce que l’on y voit
beaucoup d’animaux : des vaches surtout, mais aussi des moutons, des chèvres,
des chevaux, des renards... et des chasseurs ! » |
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L'abbatiale Saint Philibert
de Tournus,
qui fait face à l'école
Saint-Valérien © cliché internet, 2005
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